PETIT FRERE DU CIEL D'AFRIQUE
Au cameroun un jeune adolescent
A perdu sa maman
Se retrouvant seul au monde
Sur cette terre inféconde
Courageux et vaillant
Il va où le mènera le vent
Travaillant ici et là
Pour quelque maigre repas
Parcourrant les routes
Sans la moindre déroute
Cherchant un coeur aimant
Qui voudra de lui pour enfant
Puis il prie du ciel son papa
De lui tendre les bras
Et comme une réponse du Seigneur
Il rencontre un dimanche un pasteur
Qui touché par le parcours du garçon
Le ramène à sa maison
Richement béni soit celui
Qui a trouvé ce trésor joli
Et loués soient les parents
Qui ont pris sous leur aile cet enfant
Il n'aura plus de peurs
Mais obtiendra le bonheur
Car aujourd'hui Herman a trouvé une famille d'amour
Et un Dieu qui le comblera dans sa vie de chaque jour.
Sois béni petit frère du ciel.
Dieu donne une famille à ceux qui étaient abandonnés.
(Psaume 68/7)
Quiconque reçoit en mon nom un petit enfant comme celui-ci, me reçoit moi-même.
(Matthieu 18/5)
(Avec toute ma reconnaissance à Phildesion et Lysdesaron ainsi que leurs enfants, qui ont accueilli Herman dans leur demeure. Soyez richement bénis mes amis.)
© florence-http://poemesdelange.centerblog.net/
Se retrouvant seul au monde
Sur cette terre inféconde
Courageux et vaillant
Il va où le mènera le vent
Travaillant ici et là
Pour quelque maigre repas
Parcourrant les routes
Sans la moindre déroute
Cherchant un coeur aimant
Qui voudra de lui pour enfant
Puis il prie du ciel son papa
De lui tendre les bras
Et comme une réponse du Seigneur
Il rencontre un dimanche un pasteur
Qui touché par le parcours du garçon
Le ramène à sa maison
Richement béni soit celui
Qui a trouvé ce trésor joli
Et loués soient les parents
Qui ont pris sous leur aile cet enfant
Il n'aura plus de peurs
Mais obtiendra le bonheur
Car aujourd'hui Herman a trouvé une famille d'amour
Et un Dieu qui le comblera dans sa vie de chaque jour.
Sois béni petit frère du ciel.
Dieu donne une famille à ceux qui étaient abandonnés.
(Psaume 68/7)
Quiconque reçoit en mon nom un petit enfant comme celui-ci, me reçoit moi-même.
(Matthieu 18/5)
(Avec toute ma reconnaissance à Phildesion et Lysdesaron ainsi que leurs enfants, qui ont accueilli Herman dans leur demeure. Soyez richement bénis mes amis.)
© florence-http://poemesdelange.centerblog.net/